Comprimés, gélules

L’industrie pharmaceutique et les médicaments : sont-ils utiles?

Lorsque j’étais enfant, j’étais constamment malade. Je faisais des bronchites, des rhino-pharyngites et des angines à répétition. Le docteur me prescrivait à chaque fois des antibiotiques si bien que très vite mes dents de lait avaient pourri. Elles étaient devenues toutes noires et le dentiste avait préféré les couper à la base.

Par la suite, à l’âge de 7 ans et à l’âge de 12 ans, j’ai subi un choc émotionnel et je suis tombée sans le savoir dans la dépression avec stress post traumatique et phobies. Je suis restée de l’âge de 7 ans jusqu’à l’université seule à me débattre tous les jours contre une fatigue et une souffrance psychologique immenses parce que les médecins ne voyaient rien mais arrivée à la Fac, j’ai fait un burn out et j’ai commencé les antidépresseurs. Fort heureusement, à l’époque, je ne les prenais pas longtemps et je pouvais les arrêter facilement. C’est à ce moment-là, que j’ai développé une maladie auto immune, une hypothyroïdie dite d’Hashimoto. En fait, ma glande thyroïde se mettait à s’autodétruire. J’ai arrêté la Fac de médecine et à la place, j’ai étudié l’anglais jusqu’à l’obtention de la Maîtrise.

J’ai constaté que depuis ma naissance, je n’ai jamais vraiment eu la santé. Je dirais même que les ennuis médicaux se sont accumulés au fil des ans avec les médicaments.

Je prends du Lévothyrox depuis 1990. Au départ, je prenais 25 microgrammes par jour et puis je suis passée à 50, puis à 75 et maintenant à 100 microgrammes par jour. Puisque j’ai dû augmenter les doses, j’en déduis que le médicament n’a pas empêché la progression de la maladie. Je prends des antidépresseurs tous les jours depuis 2004 et je suis devenue obèse : j’ai pris 40 kilos en 10 ans et ma vue s’est considérablement affaiblie.

Le docteur de l’époque m’avait prescrit du « Médiator ». Étant donné que c’était un médicament destiné soi-disant à traiter le diabète, le docteur pensait, alors que je n’étais pas diabétique, qu’en prenant ce médicament, je perdrais du poids. Je n’ai pas perdu un gramme mais vu l’histoire du Médiator, j’aurais pu y perdre la vie !

A chaque fois que j’ai essayé d’arrêter les antidépresseurs, j’ai replongé dans la dépression. A chaque fois que j’ai demandé aux docteurs de m’aider à les arrêter, ils n’ont pas su quoi répondre ! Et pour cause ! Les antidépresseurs comme tout médicament qui soigne une maladie chronique n’ont pas été conçus pour qu’on les arrête mais pour qu’on les prenne à vie ! Autrement dit, l’industrie pharmaceutique comme un dealer m’a transformé en droguée. Je suis obligée contre mon gré d’acheter et de consommer tous les jours un produit chimique aux effets secondaires désastreux pour aller bien.

Est-ce que la nature m’a créée avec une déficience en « Zoloft » pour mon cerveau ou en « Lévothyrox » pour ma glande thyroïde ? C’est aussi ridicule que si je vous disais « oh j’ai mal à la tête, tiens mon corps a une carence en doliprane ! »

La triste vérité, c’est que l’industrie pharmaceutique essaie de vous faire croire que si vous avez un problème, la solution c’est le médicament. Pourtant, il n’y a rien de plus faux ! La race humaine a traversé les millénaires sans médicament et elle est toujours là. Ce n’est pas parce que les labos Pfizer ou Novartis ou Mylan ont fait leur apparition que tout va pour le mieux. En fait, c’est même le contraire. L’être humain n’a jamais été autant malade que depuis que ces labos nous assaillent avec leurs produits toxiques.

Qu’est-ce qui ne va pas avec la médecine moderne ?

Je vois deux raisons principales :

1. La médecine part du principe que le corps est stupide

Quand quelqu’un développe une maladie, qu’est-ce que la médecine fait ?

Au lieu de rechercher et de résoudre la cause du problème à savoir

  • Pourquoi l’organe fonctionne-t-il mal ?
  • Que faut-il mettre en place pour que l’organe ait toutes ses chances de fonctionner normalement ?

La médecine part du principe que si le corps ou un organe  est malade, c’est qu’il fait mal son travail, alors la médecine va faire le travail à sa place ! A partir de ce constat, la science va mettre au point un médicament pour faire le travail de l’organe soi-disant « défectueux ». Ainsi « Lévothyrox » va faire le travail de la glande thyroïde et « Zoloft » ou « Prozac » va faire le travail des synapses dans le cerveau.

Pourtant rien ne prouve que le corps ou l’organe soit défectueux. Il y a bien quelque chose qui empêche l’organe de fonctionner normalement mais comme on n’a jamais recherché à identifier« ce quelque chose »et à l’éliminer, l’organe continue de mal fonctionner et la maladie devient chronique.

2. La médecine ne soigne que les symptômes

Pourquoi la science ne cherche-t-elle pas à identifier les causes des maladies ?

Les maladies chroniques rapportent chaque année des milliards de dollars aux laboratoires pharmaceutiques. Rien que le cancer rapporte chaque année 200 milliards de dollars. Si l’industrie du médicament se mettait à résoudre les problèmes de santé, l’industrie n’aurait plus de raison d’exister.

En ne soignant que les symptômes, l’individu ne guérit jamais. Il va un peu mieux grâce aux médicaments et comme il va un peu mieux, il achète et consomme régulièrement ces médicaments. L’industrie pharmaceutique ne résout rien, elle cherche juste à transformer le malade en super client.

Le problème, c’est que les médicaments sont des produits toxiques et on ne connait pas leurs effets sur le long terme. Souvent, ils sont la cause d’autres maladies, parfois, ils entraînent même la mort ! De plus, dans un article de “The Jounal of the American Medical Association” (JAMA, September 1998), il est dit que 80% des médicaments ont un bénéfice inconnu !

Je vous ai évoqué plus haut « le Médiator » qui a entraîné le décès de nombreuses personnes mais il y a eu aussi le cas de « Protelos » du même laboratoire. Il devait soi-disant protéger les femmes âgées de l’ostéoporose. Ma mère en a pris pendant 4 ans. Elle l’a arrêté seulement quand elle a appris aux actualités qu’en Europe, il était interdit car il avait causé la mort de plusieurs patients. Son médecin n’était pas au courant de son interdiction et si ma mère ne lui avait pas dit, il aurait continué à lui en prescrire !

J’ai la conviction que la grande majorité des médicaments sont inutiles, voire dangereux car ils sont créés non pas pour guérir mais pour faire de l’argent.

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